C’est un bruit métallique qui résonne aux quatre coins de Buenos Aires, et dans plusieurs villes argentines, depuis maintenant dix jours, et la présentation du décret de la colère. Comme des milliers d’autres manifestants présents face au Congrès, dans la capitale, José, 64 ans, tape sur une casserole avec une spatule. “C’est lamentable de perdre comme ça notre souveraineté avec la privatisation de nos entreprises publiques ou la vente de nos terres à n’importe quel acheteur… Qu’est-ce qui va nous rester ?”
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