Remise de son cancer des amygdales qu’elle a soigné ces six derniers mois, Véronique Sanson a repris le chemin de la scène et enchaînera plusieurs dates en avril. Invitée de l’émission 50 minutes inside ce samedi 6 avril sur TF1, la chanteuse a dévoilé quelques anecdotes croustillantes.
Après avoir annoncé à ses fans à l’automne 2018 qu’elle était dans l’obligation d’annuler ses prochaines dates pour soigner un cancer des amygdales, Véronique Sanson, 69 ans, s’est battue pendant six mois à force de séances de radiothérapie pour se soigner et vaincre la maladie.
Aujourd’hui guérie, l’immense chanteuse a repris le fil de sa tournée et a rechanté pour la première fois le 3 avril au Palais des Congrès de Tours, avant de la voir parcourir la France, puis proposer une série de concerts parisiens qui culminera le 24 avril avec son grand spectacle au Palais des Sports à l’occasion de ses 70 ans et de ses 50 ans de carrière.
Pour ce grand retour, Véronique Sanson était l’invitée de Nikos Aliagas pour sa longue interview dans50 minutes inside, diffusée ce samedi 6 avril sur TF1. L’occasion pour elle de revenir sur sa carrière et ses amours (de Michel Berger à Stephen Stills, le père de son fils Christopher) et d’évoquer aussi Jay-Z, qui avait samplé sa chanson Une nuit sur son épaule pour son tube History, chanté lors de la victoire de Barack Obama à la présidentielle américaine de 2008.
Au cours de l’émission, en cliquant sur le fameux iPad et en lançant les sujets, la chanteuse a notamment mis en lumière les prémices de sa carrière, au début des années 70, alors qu’elle venait de sortir son premier album, Amoureuse, produit et co-écrit avec Michel Berger qui deviendra son compagnon, et qui se vendra à 200 000 exemplaires en 1972.
Pour la célèbre chanson du même nom (extrait-phare de ce premier album), Véronique, 23 ans à l’époque de ce premier tube, confie que son père avait été choqué par certaines des paroles : “Mon père a été choqué par le couplet ‘Une nuit, je m’endors avec lui. Mais je sais qu’on nous l’interdit. Et je sens la fièvre qui me mord. Sans que j’aie l’ombre d’un remords.’ Il a fait ‘Oooooooh ! Qu’est-ce que t’as fait ma fille ?’ Il a dû se dire que sa fille avait fait quelque chose de pas très, très bien…”
Au contraire, un texte inoubliable et une chanson immortelle.
Crédits photos : Bestimage
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